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NOUVELLES DU FRONT !

01/03/2001 : OBJECTIF MICRO PASSE UN ACCORD AVEC PRICE MINISTER : Notre association a un nouveau partenaire publicitaire : Price Minister. Ce dernier propose un tout nouveau concept de vente et d'achat de jeux vidéo, DVD, livres et CD simplement en tapant le code barre situé au dos du produit. Le principal intérêt pour le revendeur est de lui permettre d'écouler une partie de son stock de logiciels d'occasion via internet et à moindre frais. Price Minister se charge de la transaction (sécurisée) entre l'acheteur et le vendeur. C'est donc une bonne aubaine pour les boutiques et ce n'est pas pour rien qu'on y retrouve déjà quelques revendeurs soucieux d'arrondir leurs fins de mois.

Le client est assuré de trouver le produit recherché à 50% de son prix neuf et de l'acquérir sans embrouille puisque Prime Minister supervise la transaction.

Pour en savoir plus : cliquer sur l'une des bannières présentes sur cette page.

28/02/2001 : MISE A JOUR DE LA RUBRIQUE PETITES ANNONCES PRO

20/02/2001 : COMMENT REPARER VOS CD OU DVD RAYES ? : OptiMagMedia nous apporte la solution avec le fameux SKIPDOCTOR.

19/02/2001 : QUATRE NOUVEAUX ACCESSOIRES EN TEST : Eclectic Multimedia nous a fait parvenir un échantillon de sa nouvelle gamme de produits, au programme :

  • un étonnant écran LCD pour PSOne (mais pas seulement...)
  • des câbles S-Vidéo pour DC et PS2
  • un "boot CD" pour Dreamcast
  • un gun avec vibreur intégré pour Dreamcast

Pour en savoir plus, c'est ICI que ça se passe.

12/02/2001 : LA WONDERSWAN COLOR AU BANC D'ESSAI : La console portable de Bandai et seule concurrente de la Game Boy Color passée au BANC D'ESSAI.

12/02/2001 : TEST DE FINAL FANTASY SUR WONDERSWAN COLOR : Nous ne pouvions pas parler de la WonderSwan Color sans tester son titre phare : FINAL FANTASY

09/02/2001 : INNELEC REPREND 100% DE L'ACTIVITE D'ULTIMA - LE POINT SUR LA QUESTION : Innelec Multimedia prend du poids en ce moment ! En effet, après avoir englouti en juillet 2000 la chaîne Virtua (30 magasins franchisés), Innelec a frappé un grand coup en en ne faisant qu'une bouchée de la mythique enseigne Ultima (17 ans d'âge tout de même) et son réseau de 70 magasins. L'image est forte mais il faut dire que cette annonce en a étonné plus d'un.

Que les choses soient claires : les magasins ne sont pas rachetés "physiquement", chaque boutique conserve son indépendance et sa liberté d'action. D'ailleurs renseignements pris auprès des intéressés, ils sont globalement satisfaits de voir l'enseigne Ultima rachetée par une "pointure" de la distribution de jeux vidéo et de DVD en France. Avec ce rachat, Ils pensent obtenir de meilleures conditions tarifaires, une meilleure reprise des invendus, une PLV plus importante et une gamme nettement élargie (jeux PC, DVD, accessoires, bureautique, etc.).

De son côté, Innelec, via sa filiale Innelec Services, s'approprie la marque Ultima, son concept et son réseau de franchise ainsi qu'une une renommée indéniable auprès des vrais "gamers" qui connaissent Ultima depuis l'époque antédiluvienne où Amstrad, Commodore et Atari régnaient d'une main de maître sur le marché des micro-ordinateurs domestiques. Henri SAES reste au commande et assurera la Direction Générale des activités d'Ultima aux côtés de Jean-Pierre BOURDON, administrateur du groupe et Président d'Innelec Services.

Avec un réseau de 70 boutiques supplémentaires, Innelec vise à terme trois objectifs :

  • un développement de son chiffre d'affaires (le contraire m'aurait étonné ;o),
  • une offre de magasin "clef en main" avec un support et un soutien privilégié,
  • une diffusion de son offre internet de boutiques virtuelles s'appuyant sur un réseau existant.

De notre côté, nous pensons que c'est une excellente nouvelle pour la profession. Grâce à sa taille, Innelec a un pouvoir fédérateur auprès des revendeurs de jeux vidéo et de DVD. Il faut dire aussi que c'est quasiment le seul grossiste à s'intéresser activement aux "petits revendeurs".

Depuis le temps que nous souhaitions une fusion des grands groupes français de franchise, on ne peut que se réjouir de cette annonce, même si pour l'instant elle ne concerne que deux enseignes, il y a fort à parier qu'avec une telle "puissance de feu" (pour reprendre les termes d'un franchisé Ultima), le groupe va rapidement attirer de nouveaux membres. On constate qu'en ce moment ce sont les "grandes manoeuvres", les enseignes placent stratégiquement leurs pions : Strata'Games avait déjà ouvert le bal en rachetant un de ses concurrents. Difintel, Add On, Cyner J, Game Shop sont plus prudents et préférent augmenter leurs points de vente. Quant au numéro 1, Micromania, il assure tranquillement son statut de leader avec un sens du marketing sans commune mesure (saviez vous par exemple que leurs clients reçoivent des emails personnalisés en fonction du dernier jeu acheté, du style "vous avez acheté Tekken sur Ps2 dans notre boutique et nous vous remercions, si vous souhaitez connaître tous les coups de votre perso préféré, suivez le lien ci-dessous..." très fort les gars !)

Il est même nécessaire pour la survie de la profession que des revendeurs indépendants s'allient à des "mastodontes" capables d'obtenir auprès des éditeurs et des constructeurs des conditions tarifaires similaires à des réseaux comme la Fnac ou Micromania. Bien évidemment, la question ne se pose pas pour tous les revendeurs, certains s'en sortent très bien seuls et n'ont pas besoin d'un grand groupe pour obtenir de bons prix, d'autres, face à une concurrence de plus en plus agressive, auraient besoin d'un bon coup de main. Chaque magasin est spécifique et dans certains cas, la franchise n'apporte rien de plus.

Nous sommes aussi satisfaits par le fait que la société Innelec, par ses rachats, marque son attachement aux revendeurs indépendants. C'est un partenariat basé sur une confiance mutuelle qui est proposé aux revendeurs. Innelec adopte ainsi une stratégie inédite par rapport à ses concurrents. Sera t-elle payante ? Dieu seul le sait ! A titre informatif, un grossiste comme Bigben Interactive, développe son réseau de magasins en interne (aucun partenariat n'est proposé aux magasins) et contrôle ainsi complètement ses enseignes (sauf exception).

Par contre on peut légitimement se poser la question de savoir, si pour une question d'harmonisation de "l'offre franchise", Virtua ne va pas changer d'enseigne et passer progressivement sous la bannière Ultima. Bigben Interactive avait à l'époque du rachat de la franchise "Game's" conservé son enseigne "Espace 3". Mais l'on constate qu'au fil du temps, Game's semblent s'imposer comme l'enseigne dominante.

Toujours est-il que nous assistons à la naissance d'un grand groupe et nous lui souhaitons longue vie.

02/02/2001 : ATTENTION A NOS COTATIONS POUR LES PRODUITS DREAMCAST : L'édition de février/mars de nos argus jeux vidéo étant partie à l'impression avant "l'affaire Dreamcast", les cotations envoyées actuellement sont partiellement fausses pour ce support. Une mise à jour au format Excel sera disponible d'ici quelques jours sur notre site. Faites votre demande en cliquant ici pour recevoir votre fichier Excel

02/02/2001 : FLASH SPECIAL - BRADERIE DREAMCAST : Suite aux news précédentes, il semblerait que Sega France répercute les baisses américaines et japonaises à partir du 15 février. La Dreamcast devrait passer théoriquement à 990 F prix public puis 790 F dans les mois qui suivent. Côté jeux, ce sont surtout les éditeurs tiers qui vont déstocker, on parle d'une moyenne de jeux à 99 F. Sega devrait logiquement suivre le mouvement.

01/02/2001 : FLASH SPECIAL - SEGA ACTE 3 - DREAMCAST OU LA CHRONIQUE D'UNE MORT ANNONCEE : Nouvelle annonce complètement contradictoire avec le communiqué officiel de ces derniers jours (voir news précédente). Sega of America aurait décidé de baisser le prix de la Dreamcast à 99 Dollars soit 700 F environ afin de liquider ses stocks. Le président, Peter Moore, annonce l'arrêt définitif de la console en mars prochain et des développements de jeux tous azimuts : Space Channel 5, Sakura Taisen (Japon uniquement) et Virtua fighter 4 sortiront sur PS2, Sonic, Chu Chu Rockets et Puyo Puyo sortiront sur GameBoy Advance.

D'autres titres seront directement licenciés à des éditeurs tiers comme Crazy Taxi, 18 Wheeler, Zombie Revenge et F355 récupérés par Acclaim. Le modem ADSL est lui aussi abandonné, au même titre que le lecteur "zip" et une pléiade d'accessoires/gadgets. Attention même si le site officiel Sega.com ne mentionne pas encore ces infos, Sega Europe a lui aussi confimé le changement de stratégie de la maison-mère dans un communiqué officiel. Une vague de licenciements touche actuellement l'Europe et de nombreux bureaux se séparent d'une partie de leur personnel.

La Dreamcast est donc bien vouée à disparaître sous sa forme actuelle. On parle bien sûr de la puce Dreamcast intégrée dans d'autres supports mais il ne faut pas se voiler la face : la Dreamcast sera belle et bien morte fin 2001. Commercialement parlant bien sûr ! Soyez rassurés, vu le parc en place et les projets en cours, des softs seront disponibles jusqu'en 2002 au moins.

Avec la fin du hardware "made in Sega", c'est tout un pan de l'histoire des jeux vidéo qui disparaît. A travers toutes ces années, Sega n'aura jamais vraiment réussi à devancer ses concurrents au niveau mondial : la Master System fût laminée par la NES, la Megadrive ne fit qu'un temps illusion (grâce aux marchés européens et américains - traditionnelement plus réceptifs aux produits Sega) face à son rival de toujours Nintendo et sa Super Famicom. La Game Gear fût elle aussi "mangée" par la GameBoy. La Saturn enfonça le clou en se faisant "explosée" par un outsider nommé Sony, fraichement débarqué avec sa Playstation. Et encore je ne parle pas du 32X, de la Nomad ou du MegaCD. On pensait que Sega aurait tiré un enseignement de ses échecs et que la Dreamcast relancerait la société au plus haut niveau. On y a franchement cru et Objectif Micro a depuis le début, soutenu à fond la Dreamcast (regardez nos tests, vous comprendrez...). Cependant le passif de Sega, accumulé au fil des ans, a largement handicapé le développement de la Dreamcast. Pour finir, le public japonais a boudé cette console. A l'inverse les Etats-Unis (et l'Europe dans une moindre mesure) ont massivement adhéré à ce support mais ce n'était pas suffisant pour renflouer des caisses, décidemment sans fonds. Il faut bien admettre qu'avec un parc proche des 10 millions de consoles vendues à travers le monde, il est étonnant que Sega n'arrive pas à s'en sortir. Le point noir est bien évidemment une masse salariale énorme qui impose un chiffre d'affaires en conséquence. Les "frais fixes" ont donc dramatiquement affaibli la firme à l'hérisson bleu.

Sega développera donc sur de nouveaux supports (quasiment tous les nouveaux) et je peux vous dire que les jeux Sega ne seront plus jamais pareils pour les fans de la marque. C'est un peu comme si on mettait un moteur de Ferrari dans une Renault Twingo. Certes il y aura toujours des "bombes" comme seul Sega sait les faire, mais c'est avec un pincement au coeur que j'allumerais ma PS2 pour y jouer. Par contre ce qui me fait extrèmement plaisir : c'est qu'à l'instar de Square ou de Electronics Arts qui par leur absence de développement sur DC ont leur part de responsabilité dans cet échec commercial, Sega, dans l'avenir, pourra faire la pluie ou le beau temps sur les futures plate-formes multimédia en décidant de soutenir tel ou tel constructeur. A n'en pas douter, Nintendo, Sony ou Microsoft vont se bousculer au portillon du siège social de Sega pour "grapiller" quelques "Greatest hits" dont Sega a le secret.

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